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JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me...

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MessageAuteur
MessageSujet: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... EmptySam 4 Juin - 16:51





W. Joshua Turner

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Genre :
Goût musicaux :
Nombre d'enfants souhaité :
caractère prétentieux romantique attentif fidèle créatif talentueux charmeur naïf jaloux possessif fêtard

Relation :
5 lignes
Joshua est quelqu'un de très sociable qui se fait facilement des amis. Au départ, c'est un garçon très modeste même si la célébrité lui a un peu montée à la tête et il commence à être assez hautin avec les gens, c'est d'ailleurs pour ça qu'il est venu ici...Il a encore une fois eut le coeur brisé alors avec les femmes, il ne cherche plus à avoir de relation sérieuse, ça fait beaucoup trop mal et il ne croit plus vraiment en l'amour alors il peut passer pour un coureur de jupons. Il est très présent et attentif à ses amis, il est prêt à se plier en quatre pour eux.





Dernière édition par W. Joshua Turner le Dim 12 Juin - 10:37, édité 5 fois

Administrateur

W. Joshua Turner
W. Joshua Turner
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MessageSujet: Re: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... EmptySam 4 Juin - 16:51






« Welcome to my life »



Je vis le jour le 15 Juillet 1988 à Sydney, en Australie. Je ne le compris pas tout de suite, mais mon père se chargea très rapidement de me faire comprendre que je n’étais pas désiré et que je n’étais qu’une erreur. Et oui, monsieur Turner était un homme d’affaire qui voyageait beaucoup, pas le temps pour avoir des enfants où ce genre de bêtises. Malgré ça, je fus vraiment gâté, enfin, surtout par ma mère car je ne voyais pas souvent mon père qui était toujours à droite et à gauche et qui n’avait pas de temps pour son propre fils. Ma mère m’apprit que, même si nous avions beaucoup d’argent, ça ne voulait pas dire que nous étions au dessus de tout et de tout le monde. « L’argent, ça se mérite et ton père travaille dur pour nous offrir tout ça ! », c’était ce qu’elle me répétait sans cesse. Je demandais souvent à ma mère si mon père m’aimait, elle me répondait que oui mais qu’il était très occupé. Que des conneries, mon père était un bel enfoiré, lorsqu’il n’était pas au bureau, il était toujours fourré chez les voisins pour regarder des match de base-ball ou de football Américain.

« Maman, je n’ai vraiment pas envie d’y aller ! », lançais-je alors que ma mère me faisait mon nœud de cravate. J’avais six ans, mais ma mère m’habillait toujours en costume le Dimanche pour sortir manger chez des amis à eux. Sauf que cette fois, c’était chez les voisins que nous allions manger, et je n’avais pas tellement envie d’y aller. « Mais, la famille Lackey est très gentille, en plus ils ont une petite fille de ton âge…j’aimerais bien que tu te fasses des amis plutôt que de rester enfermé dans ta chambre tous tes week-end avec la guitare que tu as eu à ton anniversaire… ». Je soupirais en regardant la maison des voisins à travers la fenêtre du salon, à cette époque j’étais vachement timide et je savais que c’était une énorme famille, ça m’intimidait un peu. « Mais maman, on se croirait à la garderie là bas tellement y’a d’enfants ! », grognais-je en faisant la moue. « Je te demande juste d’être poli et un peu plus sociable Josh, c’est trop demander ? »

« You can count on me like 1 2 3 I’ll be there.. »



Je ne regrettais pas d’avoir été mangé chez eux, car je fis la rencontre de celle qui restera ma meilleure amie depuis toujours : Callie. C’est marrant, ses deux frères jumeaux (car ils étaient des triplés) avaient eux aussi le même âge que moi, mais c’est avec elle que je me suis tout de suite entendu. J’adorais la taquiner, et elle me le rendait bien. Petit à petit je réclamais à ma mère de l’inviter à dormir à la maison, puis nous faisions la route pour aller à l’école ensemble. En un an, elle est devenue la personne la plus importante dans ma vie – mis à part ma mère – et j’arrivais petit à petit à m’ouvrir aux autres à l’école. Lorsque sa mère est décédée d’un cancer, j’étais là pour elle. Je me rappelle encore de ce jour là, mon père m’avait annoncé la nouvelle alors que je revenais de l’école, j’avais huit ans. J’ai tout de suite voulu aller voir Callie mais ma mère me conseilla d’attendre, elle disait être sûre que Callie viendrait me voir d’elle-même, et elle eut raison. Quelques heures plus tard, je vis de la fenêtre de ma chambre la jeune fille sortir de chez elle en courant, je suis allé tout de suite lui ouvrir la porte, elle passa la nuit chez moi, elle n’arrêtait pas de pleurer…je n’avais jamais été confronté à la mort avant alors je ne savais pas trop comment réagir, quoi lui dire…je me contentais de l’écouter parler, d’essuyer ses larmes sur ses petites joues lorsqu’elle pleurait, juste…d’être là pour elle.

Plus nous grandissions plus nous étions inséparables. Callie était comme la sœur que je n’avais jamais eue et elle aussi fut là pour moi quand j’en avais besoin. Elle m’encourageait à suivre le chemin que je voulais : la musique. Dès que j’avais une idée de chanson, un peu d’inspiration, elle était la première personne à entendre mes créations et à me donner son avis et ça faisait beaucoup de bien car mon père s’en fichait totalement et ma mère était parfois trop occupée avec les taches ménagères plus son travail de professeur de Français au lycée pour m’écouter. J’avais souvent remarqué que le père de Callie pouvait se montrer très strict et parfois presque méchant mais à chaque fois que j’abordais le sujet avec elle, elle déviait la conversation sur un autre sujet. J’étais un garçon qui prenait petit à petit confiance en moi et je me faisais des amis petit à petit. A douze ans, ma mère m’annonça qu’elle quittait mon père et qu’elle s’en allait vivre en France, elle voulait m’emmener avec elle, j’avais le choix…Si je n’avais tenu compte que des mes parents, j’aurais choisi de vivre avec ma mère, sans hésiter, mais je ne pouvais pas quitter l’Australie ! Mes amis étaient tous là, ma vie était ici et il y avait Callie, je ne m’imaginais pas pouvoir vivre sans elle, ah ça non ! Alors ma mère est partie, mais je continuais à garder contact avec elle, je l’appelais, elle avait l’air plus heureuse là bas mais moi je ne l’étais pas, je vivais alors avec un père absent qui se foutait carrément de moi. J’étais sur que si ma mère était partie, c’était à cause de lui, qui voudrait d’un père qui délaisse sa propre femme et son fils ?

«You're my favorite song»



J’ai rencontré Lucy quand j’avais 17 ans, nous étions voisins de classe en cours. Elle était très populaire, tout le monde savait qui elle était, surtout les garçons. C’est vrai qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour plaire aux garçons, mais aucun – sauf les vantards du lycée – n’avaient l’audace de l’inviter à sortir avec eux. Même si elle avait l’air superficiel comme ça, elle ne l’était pas vraiment. Nous avons commencé à discuter, à se fréquenter petit à petit et plus les mois passaient, plus je devenais dingue d’elle. Au bout de 5 mois, j’osais enfin l’inviter à sortir et très vite, elle est devenue ma petite amie. Ouais, la première, c’était assez étrange, les gens nous regardaient passer quand nous marchions dans les couloirs main dans la main. Je pense que c’est la première fois que j’ai vraiment connu le bonheur, même si Callie elle s’éloignait petit à petit de moi. Quand j’allais à des soirées, Callie n’y était jamais, elle avait l’air de rester enfermer dans sa chambre tous les jours, elle ne me donnait plus vraiment de nouvelle…ça me faisait de la peine, vraiment parce que je tenais beaucoup à elle, mais entre les cours et maintenant Lucy, je n’avais pas vraiment le temps de « courir après elle » pour savoir ce qui n’allait pas ou même si j’avais fait quelque chose de mal ?

Ma mère était ravie que je me sois fait une petite amie et elle avait hâte qu’on vienne la voir en France avec Lucy. Tout se déroulait à merveille, j’avais de superbes notes et l’absence de mon père était maintenant un problème secondaire puisque Lucy était là. Pendant une semaine, Lucy fut tout à coup…distante, elle ne voulait pas trop me voir et elle avait l’air d’aller mal ce qui m’inquiétait, c’était notre dernière année de lycée et nous devions vraiment nous concentrer pour avoir notre diplôme de fin de lycée. Un soir je suis allé la voir, ses parents me laissèrent entrer et aller dans sa chambre, eux aussi avaient remarqués qu’elle se comportait bizarrement. La jeune fille était en train de ranger son bureau pour se préparer à la rentrée dans une semaine.

« Maman, j’t’ai demandée de me laisser tranquille ! », hurla-t-elle avant de voir que c’était moi qui venait d’entrer. Je fronçais les sourcils, elle avait les larmes aux yeux, mais qu’est-ce qui se passait ? « Oh, Josh… », murmura-t-elle avant de se tourner à nouveau pour continuer son rangement. Je m’asseyais sur le bord de son lit sans rien dire pendant quelques minutes, elle avait l’air encore plus nerveuse maintenant que j’étais là. Est-ce qu’elle voulait…me quitter ? Au bout d’un moment, je lui attrapais le bras pour l’attirer vers moi, « Lucy, qu’est-ce qui se passe ? ». La brunette s’asseyait à côté de moi et elle éclata en sanglots, « On a un problème Joshua… », murmura-t-elle entre deux pleurs. Je la pris dans mes bras, elle était toute tremblante et je commençais aussi à devenir nerveux. Je caressais son dos en fermant les yeux, je me demandais vraiment ce qui la mettait de cette humeur massacrante… Lucy resta dans mes bras un moment avant de se calmer un peu. Elle se recula et pris une grande inspiration avant d’annoncer d’une petite voix, « J’suis enceinte ». C’est comme si on m’avait balancée une grande claque en pleine figure. Ca n’était pas possible…nous avions toujours fait attention, j’en étais sûr ! Je suis resté chez elle toute la nuit à discuter de tout ça, elle avait été chez le gynécologue qui lui avait confirmé le diagnostic. Le lendemain matin, nous avions pris une décision : nous allions garder le bébé.

Mon père s’est énervé et il m’a bien fait comprendre qu’il n’approuvait pas du tout, les parents de Lucy m’ont directement mis à la porte lorsque Lucy annonça qu’on garderait le bébé. Ca semblait fou, nous le savions mais on s’aimait, vraiment…en tout cas, moi je l’aimais comme un dingue. Pendant neuf mois, il a fallut grandir plus vite, murir plus vite et ça n’a pas été facile tous les jours...nous avions décidé que nous emménagerions ensemble à la fac et les parents de Lucy étaient d’accord au final pour garder le bébé pendant que nous irions en cours, ça nous fera économiser de l’argent. Les gens regardaient Lucy de travers au lycée ce qui la rendait de plus en plus difficile à vivre. Elle avait beaucoup de sautes d’humeur et souvent, elle me balançait dans la figure que tout ça était une mauvaise idée et qu’elle allait gâcher sa vie. Nous nous sommes séparés en Mars alors qu’elle était à 7 mois de grossesse mais nous avons convenus que je pourrais voir le bébé quand je le désirais. D’ailleurs, le bébé était une fille et nous avions décidés de l’appeler Emma. J’étais encore très amoureux d’elle, mais j’osais espérer que lorsque notre bébé allait naître, tout rentrerait en ordre…

Le 28 Mai 2006, Emma est née. Elle se portait très bien, j’avais été averti le lendemain, j’étais un peu déçu de ne pas avoir pu assister à l’accouchement, mais d’après Lucy je n’avais pas loupé grand-chose à part des cris et un bain de sang. Pendant les une semaine où elle est restée à l’hôpital, je suis allé les voir tous les jours, Emma était magnifique et elle ressemblait beaucoup à Lucy. Entre elle et moi, j’avais l’impression que ça allait un peu mieux, je me sentais…heureux.

« If someone said three years from now, You'd be long gone I'd stand up and punch them up 'Cause they're all wrong.. »



Je me dépêchais de frapper à la porte, la pluie était très forte ce soir. Je protégeais le petit ours en peluche sous mon blouson, j’étais excité comme une puce et je n’avais qu’une hâte : voir ma petite fille. La lumière derrière la petite fenêtre de la porte d’entrée s’alluma et la mère de Lucy ouvrit la porte, elle avait l’air surprise de me voir mais je vis tout de suite dans son regard que quelque chose clochait et je me demandais pourquoi elle me laissait dehors sous la pluie plutôt que de me faire entrer chez elle, elle devait savoir exactement pourquoi j’étais là. La mère de Lucy soupira, « Joshua, Lucy n’est pas là… ». Je la regardais sans rien dire, je ne savais pas trop ce qu’elle me racontait là, comment ça pas là ? Elle avait accouchée il y a quelques jours, elle n’était pas en état de se balader dans tout Sydney ! Je fronçais les sourcils, je commençais à avoir vraiment froid sous cette pluie et l’air était assez froid ce soir, « Ne reviens plus… », lança-t-elle en commençant à fermer la porte. Je mis mon pied pour l’empêcher de la fermer, « Comment ça ? », demandais-je en ré ouvrant la porte. « Lucy est partie avec le bébé, c’était mieux pour tout le monde – elle passa sa main dans sa poche pour en sortir une enveloppe et me la tendais – elle a laissée ça pour toi… ». Je pris l’enveloppe, mon cœur battait à milles à l’heure alors que madame Winster fermait la porte à nouveau, « Adieu Joshua ».

Je m’asseyais sur les marches devant sa maison pour lire la lettre, Lucy m’expliquait qu’elle préférait partir pour ne pas m’empêcher de pouvoir réaliser mes rêves même si j’avais très vite compris que sa mère lui avait montée la tête… Je tombais de tellement haut, moi qui croyait que Lucy et moi allions nous remettre ensemble et que tout irait bien, que nous serions tous les trois avec notre petite fille. Plus je lisais les lignes, plus je sentais les larmes me monter aux yeux. Mon portable vibra, je regardais rapidement, c’était mon père…je soupirais et je me levais en sortant la peluche de ma veste sans pour autant la lâcher, je la gardais dans ma main et je commençais à marcher sous la pluie sans vraiment savoir où j’allais…J’étais trempé et il devait être tard lorsque j’arrivais dans la rue où j’habitais. Je marchais doucement même si j’avais l’impression que mes jambes n’avaient plus de forces et qu’elles allaient lâcher. Je m’arrêtais en face de la maison voisine à la mienne, la maison des Lackey. « Callie… », murmurais-je en m’avançant dans l’allée de leur maison. Je regardais ma montre, il était vraiment très tard mais il fallait que je la voie. En fait, on se n’était pas vu depuis un petit bout de temps à part comme ça, vite fait au lycée…Comment est-ce que j’avais pu la délaisser comme ça ? Elle avait été la seule personne qui ne m’avait jamais abandonnée…Je rangeais la lettre de Lucy trempée dans ma poche et je toquais chez les Lackey.

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Callie vienne m’ouvrir. Elle était en pyjama et la maison semblait calme, tout le monde dormait, certainement. Je levais le regard vers elle, je ne savais pas trop si elle voyait que je pleurais comme un gamin avec la pluie qui coulait sur mon visage. Je resserrais la peluche dans ma main…Callie devait être au courant pour Lucy, je ne lui en avais pas parlé mais tout le monde été au courant de cette histoire, des élèves enceintes, il n’y en a pas tous les jours… « Josh… », murmura-t-elle en me prenant par le bras pour que j’entre chez elle. Je la laissais faire, je ne savais même pas ce que je venais faire ici, je me sentais tellement nul d’avoir « perdu le contact » avec elle, elle était ma meilleure amie, comme ma sœur...mais ma vie n’avait tournée que autour de Lucy pendant trop longtemps, tout ça pour me retrouver dans cet état à la fin..Malgré le fait que je sois trempé, la jeune femme se mit sur la pointe des pieds et me pris dans ses bras pour me murmurer, « J’vais nous faire deux chocolats chauds et tu vas tout me raconter… »

Je ne sais pas si j’aurais pu « survivre » sans Callie, vraiment..J’étais devenu une épave, une machine à écrire et chanter des chansons déprimantes. Je m’étais coupé de la vie extérieure, pour moi c’était « dodo, lycée, Callie ». Je voyais bien qu’elle essayait de me faire aller mieux et elle y arrivait, mais uniquement lorsque j’étais avec elle. Lorsqu’elle n’était pas là, je me remettais à penser à tout ça et je me torturais l’esprit à me demander où mon enfant se trouvait…Lucy allait certainement lui trouver un autre père, un autre homme que MA fille appellerait papa...ça me rendait malade qu’elle m’ait fait un truc pareil. J’étais capable de faire n’importe quoi pour elle, j’aurais tué pour elle et elle m’avait laissé tomber comme une merde du jour au lendemain avec…tant de facilité. J’avais l’impression que notre histoire n’était qu’un mensonge auquel j’étais le seul à avoir cru. Je me sentais non seulement nul, mais tellement triste…Callie faisait la route avec moi tous les soirs et tous les matins du lycée à chez nous, elle rentrait chez elle rapidement pour déposer des affaires inutiles puis elle revenait chez moi pour que nous fassions nos devoirs ensemble (je soupçonne même que c’était une stratégie pour être sûre que je faisais bien mes devoirs et que je travaillais le diplôme de fin d’année). Une fois nos devoirs faits, soit nous regardions un film ou alors…nous étions simplement tous les deux assis sur mon lit à ne rien dire. Je crois que si je supportais autant sa présence, c’était parce qu’elle m’apaisait, elle était la seule à ne pas me parler de Lucy ou de Emma, contrairement à mon père que évoquait le sujet tous les soirs au diner. J’étais vraiment blessé, détruis et je me demandais sérieusement si j’allais trouver la force de tourner la page un jour. En tout cas, sans ma meilleure amie j’aurais certainement déjà fait pas mal de conneries.

« Baby remember my name »



Un mercredi après midi je reçus un appel qui changea ma vie à tout jamais.
« Joshua, téléphone ! », hurla mon père alors que je soupirais en sortant de mon lit. « J’arrive ! », lançais-je alors que je dévalais l’escalier pour rejoindre le salon. C’est con, mais pendant deux secondes j’avais espéré que ça soit Lucy qui appelait pour dire où elle était, pour me dire qu’elle voulait que je les rejoigne, que je lui manquais, qu’elle regrettait… J’amenais le téléphone à mon oreille, « Joshua Turner ? », demanda une voix rauque d’un air assez sec. « Oui…et c’est… ? », demandais-je d’un air assez perplexe. « Je suis Paul Leighton, directeur de la maison de disque Universal Music en Amérique – je l’écoutais parler, mon cœur commençait à s’emballer. Universal Music…en Amérique ? Mais qu’est-ce qu’ils me voulaient ? Comment ils me connaissaient ?– un de nos producteur était en voyage d’affaire en Australie, à Sydney et il vous a croisé dans un parc. Il était chez vous pour rechercher de nouveaux talents et d’après lui, vous avez beaucoup de potentiel. J’ai lu dans votre dossier scolaire que vous allez rentrer à l’Université en spécialité musique ? ». J’avalais ma salive, je me sentais tout à coup nerveux. « Oui…oui c’est ça… », dis-je doucement. « Est-ce que ça vous direz de signer un contrat avec nous pour sortir un single ? Si celui-ci marche bien, vous pourrez enregistrer un album avec notre maison de disque ! J’ai entendu quelques unes de vos chansons et je dois avouer que même si elles sont un peu…pessimistes, j’aime beaucoup votre style ! ». Je souris, mon père leva ses yeux de son journal en ce demandant comment une personne autre que Callie avait réussis à me faire sourire. « De quels instruments jouez-vous ? » Je m’asseyais sur le canapé près de mon père en passant mon visage entre mes mains. « Guitare acoustique, électrique et j’apprends le piano en ce moment…mais…vous êtes sérieux ? ». L’homme au bout du fil se mit à rire, « Bien entendu ! Mais pour que tout ça se réalise, il va falloir que vous veniez vivre à Los Angeles. Votre transport sera à nos frais et nous vous trouverons un logement pas très loin des studios d’enregistrement ». Je me pinçais la lèvre, quitter Sydney…non, je ne pouvais pas...et Callie ? Je soupirais, « Je ne sais pas monsieur…je…ici c’est chez moi… », l’homme me coupa, « Joshua, vous pourrez devenir une des plus grandes stars de la musique de cette décennie, n’êtes vous pas musicien pour transmettre des messages au travers de vos chansons ? Vous n’allez pas me faire croire que vous préférez devenir un petit professeur de musiques ou d’arts !.. »

J’en ai d’abord parlé à ma mère. Pas la peine de vous dire qu’elle était folle de joie, elle me conseilla de foncer, de toute manière d’après elle, je n’avais rien à perdre…elle n’avait pas tout à fait tort, en fait je n’avais qu’une seule chose à perdre : l’amitié de Callie. J’allais devoir vivre loin et certainement à un rythme assez particulier et difficile. D’après elle, mon amitié avec Callie était trop forte pour qu’elle soit brisée uniquement avec la distance. Mais elle ne comprenait pas qu’il n’y avait pas que la distance comme problème. Enregistrer un album, ça demande énormément de temps sans compter la promotion de l’album, je n’allais pas avoir une seule minute à moi…mon père lui s’en fichait, comme à son habitude. Alors je décidais d’accepter la proposition de Mr Leighton. J’étais fou de joie, j’ai tout de suite annulé mon inscription à la fac : en même temps, j’allais vivre le rêve Américain, pur et dur. Devenir une star…je n’y avais jamais franchement pensé, je ne pensais pas que j’avais assez de talent pour arriver à ce stade et pourtant…la vie avait été tellement chienne avec moi, c’était sa manière de se rattraper ? Nous étions courant Juillet et je partais fin Août le temps de faire toute la paperasse pour aller aux States. Il fallait juste que j’en parle à Callie, je redoutais vraiment ce moment. Ca me faisait du mal aussi de la laisser ici, j’avais bien envie de lui dire de venir avec moi, mais qu’est-ce qu’elle serait venue faire à Los Angeles ? Surtout que si j’étais débordé, j’allais finir par la délaisser et ça allait être pire.

Callie m’invita à manger chez elle un soir. Sa maison était vide, c’était vraiment très bizarre, j’étais habitué à voir ses frères et sa sœur courir partout à toute heure du jour et de la nuit. Un peu de calme, ça devait lui faire du bien à elle aussi. Elle avait fait mon plat préféré, j’étais content de passer la soirée avec elle-même si plus les minutes passaient, plus je redoutais le moment où j’allais lui annoncer mon départ. Nous étions arrivés au dessert lorsque je lâchais le morceau, « Je vais devenir musicien ». La jeune fille éclata de rire, moi qui affirmait tout le temps que jamais je ne deviendrais musicien parce que non seulement je n’avais pas le talent, mais aussi parce que la célébrité, ça n’était vraiment pas mon truc. « Je ne déconne pas Callie. Une maison de disque m’a contacté… je déménage à Los Angeles et je vais produire un album. » Callie avait l’air vraiment étonnée et je pouvais le comprendre. Mon cœur battait très vite, j’étais nerveux, j’avais peur qu’elle m’en veuille. « C’est génial Josh’… j’suis fière de toi ! », annonça-t-elle. Je lui souris, c’est vrai que j’avais hâte d’y être mais en même temps, je n’avais pas hâte de la quitter. Sans elle, je n’aurais pas réussis à surmonter ces derniers mois, j’avais l’impression de l’abandonner et je détestais ça. Quand ma mère était partie en France, j’avais eu ce sentiment d’abandon et je l’avais ressentis encore récemment lorsque Lucy était partie..Mais j’allais tout faire pour que ça marche et pour que nous gardions contact.

J’avais retrouvé un peu le goût de vivre, ça faisait du bien, vraiment…mon inspiration revenait en flèche et je passais le plus de temps possible avec Callie. Elle avait l’air triste que je parte et même si je ne le montrais pas forcément, je l’étais aussi…nous avions déjà été « séparés » pendant nos années lycées, je ne voulais plus que ça arrive mais comme disait ma mère, « c’est la vie ». Nous allions prendre des chemins différents mais j’espérais vraiment que nous garderions contact, le plus possible. Elle est venue me conduire à l’aéroport, j’étais nerveux à l’idée de quitter l’Australie. Les seules fois où je quittais le pays, c’était pour aller voir ma mère en France et encore, ça n’arrivait pas si souvent. Mon avions était en retard, comme à chaque fois. J’avais déposé mes valises, il ne manquait plus qu’à monter à bord. « Tu connais mon numéro de portable… tu peux me SMS n’importe quand ok ? Et je te donnerai mon adresse par texto, comme ça tu pourras m’envoyer des lettres. ». La jeune fille hocha la tête, elle avait l’air de plus en plus triste et ça me rendait triste de lui faire de la peine. Callie resta pour toujours la fille la plus importante dans ma vie, elle avait grandie avec moi, et ça, ça ne changera jamais. J’avais oublié son importance quand j’ai rencontré Lucy et au final, c’est Callie qui était là et qui m’a réconforté. Elle méritait amplement le titre de « femme de ma vie », enfin, pour moi ce titre ne voulait pas forcément dire qu’elle était la fille que j’aimais et avec qui je voulais me marier et tout ce blabla… « Tu vas m’écrire, toi aussi ? », demanda-t-elle. J’éclatais de rire, pour moi c’était évident que je lui écrive. Elle allait vraiment me manquer mais elle n’avait pas l’air rassurée, je crois qu’elle avait peur que je finisse par l’oublier. « J’te le promets. À tous les jours. », répondais-je pour la rassurer en lui souriant. Mon vol fut annoncé, je la pris dans mes bras pour la dernière fois, j’eue un gros pincement au cœur et tout à coup, j’aurais eu envie de dire « stop, je ne veux plus partir ! », mais je ne pouvais pas faire ça, c’était trop tard… Je montais à bord de l’avion en regardant par le hublot l’aéroport, elle me manquait déjà, j’en avais les larmes aux yeux. Je pris alors mon portable et je lui envoyais un texto qui, j’espérais la ferait sourire. « Tu me manques déjà, je t’aime ». Je lui envoyais avant qu’on ne décolle, c’était bizarre, c’était la première fois en quoi…10 ans, que je lui disais que je l’aimais. J’avais toujours été trop timide ou alors trop fier pour lui dire, j’avais aussi peur qu’elle le prenne dans le mauvais sens. Mais c’était vrai, je l’aimais, elle était comme ma petite sœur, je n’étais pas grand-chose sans elle et elle allait horriblement me manquer.

« It was so easy to trust you baby, guess I was so stupid baby »



Mon installation à Los Angeles fut assez…difficile. Arriver dans un continent différent, une ville différente, ne connaître personne...l’ambiance était vraiment à l’opposé de Sydney. Ici les gens sont assez superficiels et la culture, tout ça, ça n’est vraiment pas la même chose. J’écrivais à Callie dès que je le pouvais, c'est-à-dire toutes les deux semaines. Je lui racontais mes journées et parfois je lui téléphonais, sérieusement, je ne pensais pas qu’elle me manquerait autant…Mon premier single c’est vraiment bien vendu en Amérique, les gens sur internet étaient impatient d’entendre autre chose alors j’ai signé pour un album. En six mois, les choses sont passées tellement vite, je n’ai pas eu une seule minute à moi, alors les nouvelles vers Callie étaient presque inexistantes. Presque, parce que je continuais à lui écrire mais je n’avais jamais le temps d’aller acheter de quoi lui envoyer. Ça semble fou, mais si seulement vous saviez à quoi ressemblait mon emploi du temps..je devais aller aux studios, participer à des soirées pour promouvoir mon album, aller dans des émissions, faire des interview pour des magasines…alors le soir, quand je retrais chez moi et que je me sentais seul, quand j’avais le mal du pays, je lui écrivais. Au bout d’un moment, j’ai tout écrit sur un cahier et je continuais à tout écrire dessus.

Septembre 2007, Los Angeles.
Callie,
Je me demande encore comment je peux écrire dans ce cahier, tu ne liras certainement jamais tout ça et tu dois m’en vouloir de ne plus donner signe de vie. J’ai essayé de t’envoyer une carte de mon voyage en Egypte mais elle est revenue ici, disant que tu n’habitais plus à cette adresse…Ca fait maintenant un an et demi qu’on est séparés et tu ne peux pas savoir à quel point tu me manques. C’est tellement fou ici…mon premier album se vend comme des petits pains, pour l’instant je commence à être connu en Amérique mais mon producteur voudrait que ma musique passe les frontières et arrive en Europe… J’arrive pas à croire que tout ça est vrai.

Josh


2 Mai 2008, Londres.
Callie,
Je suis en train d’écrire les chansons pour mon deuxième album. Je vis désormais en Angleterre, encore un changement radical de vie. En fait, je suis venu en concert à Londres et j’ai rencontré une fille…elle s’appelle Liberty et je suis vraiment dingue d’elle…je t’avouerais qu’au départ, j’ai eu peur de tomber encore une fois amoureux, mais tu devrais la voir ! Elle est tellement gentille et si intelligente. Et surtout elle m’aime pour moi, et pas pour ma célébrité – chose qui commence à devenir assez rare depuis quelques temps…J’aimerais tellement savoir si tu as entendu mes chansons et si tu les aimes même si tu connais presque toutes les chansons qui étaient dans mon premier album. Demain je participe à une interview pour une télévision Australienne, j’espère que tu la regarderas car je vais parler de toi. Je ne t’ai pas oublié, Callie.

Josh


17 Janvier 2011, New-York.
Callie,
J’aimerais tellement que tu sois là…est-ce que tu crois que l’amour existe ? Je veux dire…l’amour sincère ? Parce que je n’y crois plus. Je ne comprends pas, comment Liberty a-t-elle pu me faire un truc pareil ? Ca faisait deux ans que nous étions ensemble et je la retrouve en train de baiser avec mon meilleur ami…et d’après Sam, ça fait trois mois qu’ils se voient derrière mon dos…j’ai tellement mal Callie, j’ai l’impression d’être revenu à cette nuit où je suis venu chez toi, j’ai besoin de toi encore une fois, comment je vais réussir à surmonter tout ça seul ?


A partir de ce moment, je commençais à changer. Depuis mon départ de Sydney, j’avais déjà un peu changé, je m’habituais au luxe et au fait que j’étais connu. Je donnais des concerts, j’avais des fans, je faisais quelque chose que n’importe qui rêve de faire. Mais là, c’était encore pire. Je m’étais réinstallé en Amérique, je vivais au jour le jour. J’enchainais les soirées et les unes des magasines à scandale, j’étais malheureux et je glissais sur la mauvaise pente. Moi qui avais une bonne réputation dans le monde de la musique…j’étais juste un simple musicien qui réussissait et qui avait du succès. Je n’étais pas quelqu’un qui avait l’habitude de faire des vagues mais j’avais besoin de me lâcher, juste...d’oublier. J’aurais du sortir un troisième album mais celui-ci était en suspend : je n’avais plus d’inspiration et je faisais beaucoup trop de conneries pour me concentrer sérieusement sur mon travail.

« If I could take it all back I would now, I never meant to let you all down and now I've got to try to turn it all around and figure out how to fix this... »



Heureusement, ma mère croyait en moi et elle a voulu me remettre sur le droit chemin…elle m’a invitée à passer une semaine chez elle, en France. « Joshua, je déteste le garçon que tu es devenu ». Je levais les yeux de mon portable en direction de ma mère. Ça avait au moins le mérite d’être clair. Je soupirais puis je baissais à nouveau les yeux vers mon téléphone sans rien répondre. Ma mère se leva alors et prit mon portable des mains. « Hey ! Qu’est-ce que tu fous ? », lançais-je. « Tu m’écoutes ou pas ? ». Je soupirais en me redressant dans le canapé, « Oui maman… ». Elle posa le téléphone à côté d’elle et prit un air dur – le même air qu’elle prenait quand j’étais petit et qu’elle voulait me faire la leçon – en remettant en place une mèche de ses cheveux derrière mon oreille. « Josh…tu te rappelles ce que je t’ai dit quand tu m’as annoncé que tu allais enregistrer un album ? ». J’haussais les épaules, j’avais l’impression que j’allais passer un sale quart d’heure. « Tu m’as dit… « Vis comme si tu étais tout en bas même si tu es au top » ». Ma mère hocha la tête en me souriant, « Oui…et est-ce que c’est ce que tu fais ? Joshua…j’ai lu toutes tes péripéties dans les journaux et j’ai même trouvé de la drogue dans ta valise ! ». Je me levais soudainement, « Tu as fouillé ma valise ?! ». Ma mère se leva à son tour, elle avait l’air encore plus en colère, « Josh, tu peux pas continuer comme ça ! Tu es devenu hautin, prétentieux et tu te drogues ! ». Je m’asseyais à nouveau sur le canapé en passant mon visage entre mes mains, j’avais les larmes aux yeux. Ma mère s’asseyait près de moi en passant son bras autour de mon épaule pour me serrer contre elle. « Je sais que ça n’est pas facile mais…toutes ses filles…elles ne valent pas la peine que tu gâches ta vie… ». Je soupirais sans rien dire, c’était facile à dire. « Je te propose quelque chose… – dit-elle en se levant pour me ramener une brochure d’une île appelée « Basley Island » – tu devrais aller quelques temps là bas…faire une pause et penser à tout ce qui s’est passé ses dernières années »

C’est comme ça que j’ai atterrit sur l’île il y a environ deux semaines. Dans l’espoir de me retrouver et d’aller un peu mieux. Je suis au fond du gouffre, à quoi sert la célébrité si on ne peut pas la partager avec quelqu’un qu’on aime ? Ici j’espère me faire des amis et redescendre sur terre. Et parfois, je me dis que j’aimerais tout recommencer à zéro.



Derrière l'écran


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    Niveau RP : Nul à chier
    Commentaire : Très beau forum =O
    Avatar : Joseph Adam Sexy Jonas
    Groupe : Visiteurs
    Pour nous aider : X
    Code:
    [color=crimson]☀[/color] Joe Jonas | W. Joshua Turner






Dernière édition par W. Joshua Turner le Ven 10 Juin - 18:41, édité 43 fois

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MessageSujet: Re: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... EmptySam 4 Juin - 23:24

JOE JONAS OU COMMENT ARNAQUER 17 000 PERSONNES ET PLUS EN 1 HEURES.
Étape 1 : Donner à un pure inconnu le boulot d'écrire les paroles de sa nouvelle chanson sur un mûr avec sa chanson en fond qui joue en boucle au moins 40 fois.
Étape 2 : Nous tuer les yeux avec son tee-shirt flashi pour parler à ce pure inconnu & prendre des photos de ce mur qui a si gentiment été bousillé par une grosse écriture rouge à la fin.
Étape 3 : Finir par des remerciements de 30 secondes et se casser nonchalamment comme si nous n'étions pas 17 000 personnes à attendre que quelque chose de plus intéressant se passe.

Mh bref... Bienvenue :**:
(moi aussi ça me tentait ! (a))

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MessageSujet: Re: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... EmptySam 11 Juin - 20:13

Tu trouves le forum nul à chier ?
PARFAIT, T'ES ENGAGÉ ! C'EST DES GENS COMME TOI QUE JE VEUX AU SEIN DE L'ÉQUIPE (pas la peine de préciser que je déconne hein ? XD)

BIENVENUE *la grosse folle XD*

JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... 8670270596229_01
TU ES VALIDÉ[E] !


Félicitations, tu as été admis sur Basley Island !
Tu peux dès maintenant aller ouvrir ta fiche de liens afin d'intégrer ton personnage à l'histoire ! Si tu es commerçant, tu peux tout de suite aller ouvrir ton commerce ici et demander à avoir une habitation sur l'île ici ! Si tu es un visiteur, va te réserver une chambre au Basley Hôtel ici =)

N'oublie pas aussi d'aller créer ton formspring /!\ Il est obligatoire et tu peux aussi créer un compte facebook à ton personnage et aller le répertorier ici (facultatif)

Amuse toi bien parmi nous !

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MessageSujet: Re: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... EmptyDim 12 Juin - 10:25

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EDIT : merde j'savais pas que j'étais sur ce compte xD


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MessageSujet: Re: JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... JOSHUA WILLIAM TURNER ☀ Can't you see, you belong with me... Empty




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